Pratiquer les écomédecines
Il est reconnu que dans les sociétés occidentales la progression de nombreuses maladies est consécutive à la dégradation de l’environnement et au caractère tendu et artificiel des modes de vie ; ceux-ci, par leur coté anti-naturel fragilisent et dégradent nos organismes.
Les médecines occidentales ou allopathiques se révèlent elles-mêmes acteurs du même schéma anti-naturel et sont souvent impuissantes à trouver des réponses à nos maladies contemporaines, y compris les plus courantes. Ces graves atteintes font peser une lourde hypothèque sur la qualité du patrimoine génétique de l’humanité…
Les écomédecines sont les véritables "médecines traditionnelles", telles que celles utilisées depuis des millénaires par certaines civilisations orientales.
On peut avoir désormais facilement recours en Europe à plusieurs types d'écomédecines :
• la médecine traditionnelle chinoise ;
• la médecine traditionnelle ayurvédique ;
• l’homéopathie ;
• la naturopathie ;
• l’ostéopathie ;
• la microkinésithérapie.
Elles sont pratiquées à la fois par des médecins, des dentistes et des vétérinaires.
Comment se soigner autrement et passer aux écomédecines ?
• Faire le point sur les tensions récurrentes dont nous souffrons et les maladies chroniques ou répétitives face auxquelles la médecine traditionnelle allopathique ne fonctionne pas.
• Faire le tri dans notre pharmacie et réfléchir à notre gestion des médicaments.
• S'interroger sur la composition des médicaments que nous utilisons, leur impact sur l'environnement, leur coût et leur impact écologique.
• Tenter l'expérience d'aller aller voir un homéopathe, un naturopathe ou un praticien de santé diplômé pour en parler.
• Tenter le sevrage des excitants qui nous aident à tenir dans le quotidien, pour retrouver un rythme naturel.
• Repenser notre alimentation.
Que proposent les écomedecines ?
Elles peuvent apporter des solutions simples et efficaces aussi bien en curatif qu’en préventif. Elles ont des points communs essentiels :
• elles considèrent le patient dans sa globalité physique et psychologique ;
• elles s’attachent moins au symptôme qu’à son origine : elles proposent au patient une gamme de choix thérapeutiques ;
• elles donnent une place majeure à l’écoute du patient, à sa relation avec le thérapeute et à l’accompagnement multiple que celui-ci peut lui apporter ;
• elles visent à renforcer le terrain et l’immunité ;
• elles utilisent le concept de rééquilibrage énergétique ;
• elles sont en harmonie avec le respect de l’environnement proposant des traitements à base de produits naturels et non générateurs de déchets toxiques ;
• elles donnent une grande place à la prévention ;
• elles sont attentives aux relations qu’entretient le patient avec son cadre et son mode de vie : habitat, alimentation, biorythmes, facteurs de tension ou de stress, exposition aux pollutions (métaux lourds ou non, cosmétiques, microbes, parasites, bactéries, pesticides, insecticides, et autres polluants chimiques...), aux radiations électromagnétiques, et nucléaires, addictions diverses…
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